lundi 14 mars 2016

                                                Qui-suis je?
                                                 Amadou KONE
                 Delasante-aubienetretotal.blogspot.com

Amadou koné, entrepreuneur de naissance est un grand amoureux de l'aventure et du risque. Il est entrepreneur de sang par ce qu'il a eu toutes les chances de devenir un employé tôt et sans efforts. Aussi, il est autodidacte en informatique. En effet sortie des universités specialise en histoire politique et sociale, il est animé de curiosité dans l'apprentissage, ma comprehension, l'expérimentation et la solution de tout genre.
 Ainsi formanté pour etre employé, Amadou KONE decida de repartir dans  les etudes en marketing pour en sortir quelque années mieu nantis pour servir. Encore une deuxieme fois c'est le refus de l'emploi. Quelle deception, j'en suis sur pour beaucoup depersonne. C'est stupide.
           
 Ce que Amadou veux!

Devznir entrepreneur. Oui chef d'entreprise. Maintenant ce qui restait a faire, commencer. Il allait alors trouver quelque chose pour commencer. Et comme par magie dans ses recherches insessant il tombe dans la marmite du marketing relationneo ou MLM,... Tres genial Amadou est deja patron. Il peit aller ou il veut comme il veut et travailler comme bon le samble, surtout que le gain n'est pas fonction de l'effort,cest vraiment cool. C'est une activite interessante. Jusqu'a ce jour le reseau MLM(EDMARK INTERNATIONAL) se porte en merveille.
               
    Progression pationante

Le MLM fu execptionel et Amadou ajouta a ses actif une jeune multinationale(RENOBUS INTERNATIONAL) intervenant dans plusieurs domaines. Et pour vous rassurer sa societe comme le mlm font la fierte du jeune éntrepreneur.

Idee de blog
  
  Le travail paye toujours les amies! Amadou KONE dans sa quête permanente lui apparut un à un les expert du mlm. C'est dans cette logique qu'il s'interessa de plus prèt a internet et a l'imense richesse de cette revolution. Sans en avoir eu vant auparavant AMADOU KONE etudiat et continue d'etudier l'opportunite de internet. C'est la naissance prochaine d'un blogueur pro, en tout cas c'es son embution.
      
 PROJECTION

Le chemin travers ne sera pas raconter sans vous, c'est ca le projet. Et voyant les gens souffrir des problèmes de santé, il decida de se pencher sur celle-ci, pas par hazard mais grace au connaissances acquises et aux pratiques et expériences personnelles. Et pour vous assurez il est un grand passionné de la perte du poids du de ses acquis en la matiére.
Bloguer est fantastique. En tant que entrepreneur, batisseur visionaire et excellant nutritioniste, le cheminement en compagnie de ce dernier va vous permettre de traverser les defis ensemble et de vous laisser apprecier comme une personne a succès en matière santé et surtout de vivre la viz de vos reve. Il va partager beaucoup d'experience avec vous, mettre a votre disposition des exemple de reussite(histoiresreçues) , des secret, de la motivation, des questipns de santé( delasanteaubienetretotal) et surtout les techniques exacte a appliquer pour reuissir une vie,longue et prospère.
Amicalement Amadou.
 Delasante-aubienetretotal.blogspot.com


mercredi 9 mars 2016

L'introduction du veritable probleme de sante

                                Cielétoile KONE

                                                                       delasanteaubienetretotal@blospot.com

     De nos jours, la question de la sante est aussi préoccupante qu'elle ne l'a été. Au début la science moderne exacte et appliquée, et surtout a, la fin du 19e siècle le monde croyait finir en finir et s'attaquer a autre chose hélas, plus nous avançons plus cette question demeure au premier plan.

                   Que se passe-t-il? Qu'est ce qui n'a pas marche? Qu'est ce qui n'a pas été? Qu'est ce qui 'n’est pas? A quel niveau ça n'a pas été résolu?
 Ceci est juste une petite introduction

            Ce traitré n'est pas le lieu de réponses magiques. Vous aurez toutes vos réponses dans les semaines suivantes. Mais dans tous cas vous serez bien guidé. Tant de satisfaction vous êtes accordez allant des astuces les plus simple et plus facile conseils et informations.  Aussi les prémices de solutions y seront abondants.

Passez de bon moment car ce blog est le votre.

                   Constat général.
  Les défis du monde moderne sont colossaux et touchent, tous les domaines. La sante étant le cœur de l'ensemble, les hommes lui ont toujours conféré une attention particulière. Est-ce  les phénomènes sanitaire ne se laisse pas faire ou qu'est ce qui ne, marche pas?

Cancer du côlon
De plus en plus rependu dans le monde entier, le cancer colorectal reste étrangement méconnu du grand public.Ce que nous mangeons a un impact direct sur notre santé ! Si c'est évident pour des maladies comme l'obésité, c'est également vrai pour le cancer. Ainsi la composition de nos repas contribuerait pour 40 à 60 % à l'apparition de tumeurs. Face à ce fléau en constante augmentation, la meilleure arme repose sur une détection précoce. Le cancer du côlon se situe au troisième rang des cancers les plus fréquents. C'est également la deuxième cause de décès par cancer.
Les facteurs de risque du cancer colorectal
Les facteurs immédiats du risque du cancer du colon sont en réalité les choses dont nous en avions connaissance depuis longtemps. Les facteurs de risques  les plus courantes sont la constipation chronique prolongées et le manque de désintoxification. Ces deux facteurs créent eux même ou les conditions nécessaires a la naissance de plaques mucoidales.  Ces monstres de déchets  peuvent vivre pendant plus de dix ans dans le colon et se regroupant en corprostase  jusqu'à atteindre plus cinq kilogrammes. Une vigilance particulière est recommandée si vous présentez un ou plusieurs facteurs de risque du cancer colorectal. Outre des dispositions, différentes études ont permis d'identifier d'autres éléments pouvant favoriser ou prévenir la survenue du cancer du côlon.
       Ainsi Chaque année, l'alcool est responsable d'environ 10 000 décès par cancer. Ce risque dépend de la dose consommée et non du type d'alcool : à dose égale, tous les types d'alcool sont également cancérogènes.Bouche, gorge, œsophage : sur tout son trajet l'alcool cause des dégâts et accroît le risque de nombreux cancers - à plus forte raison s'il est associé au tabac.  
   Lorsqu'un cancer du côlon est diagnostiqué tôt, les chances de guérison approchent les 100 %. Pourtant, près de la moitié des patients décèdent encore des suites de cette maladie. La recherche médicale progresse chaque jour pour améliorer le traitement des cancers colorectaux. Les enjeux sont multiples : il faut mieux comprendre la maladie pour mieux la combattre grâce à des solutions plus ciblés, il faut développer des tests de diagnostic plus précis et plus précoces.

Cancer et alimentation :

On a pu identifier un certain nombre d'aliments qui diminuent les risques de développer un cancer. Ils contiennent des fibres, des antioxydants ou des vitamines aux propriétés reconnues. Fruits et légumes, boissons... L'alimentation est  donc un facteur déterminant dans l'apparition et le développement de cette maladie.  S'il n'existe pas d'aliments à éviter absolument, certains consommés en excès peuvent présenter des dangers. Viande rouge, alcool, sel.
Première cause de cancers, le tabagisme est responsable d'un quart des décès par cancer. Un constat pour le moins alarmant... Si le cancer du poumon compte pour beaucoup dans ce constat, il n'est pas le seul : le tabac diffuse ses méfaits dans tout l'organisme et constitue un facteur de risque pour de nombreux cancers. Les méfaits de la cigarette ne sont plus à démontrer. On pense avant tout au cancer du poumon, mais le tabac favorise le développement de nombreux autres cancers.. Pour un fumeur sur quatre, l'espérance de vie est réduite en moyenne de 20 ans et se solde par une mort avant 65 ans. Malgré ce triste tableau, les méfaits du tabac sont généralement minimisés par les victimes de la cigarette. Pollution atmosphérique, chimique, électromagnétique... Quel est leur impact réel sur la survenue des cancers ? Bien qu'il soit parfois difficile de démontrer la dangerosité de certains facteurs environnementaux, certaines études permettent aujourd'hui de pointer du doigt plusieurs coupables. Les liens entre pollution et cancer sont difficiles à démontrer. Moteurs diesel, champs électromagnétiques, métaux lourds... Quels sont leurs véritables effets ? Différentes études ont fait le point sur plusieurs de ces liaisons dangereuses..
                A SUIVRE DANS LES PROCHAIN NUMERO

Cieletoile KONE du blog delasanteaubienetretotal@blospot.com

mardi 1 mars 2016

 
  •  des aliments acidifiants etacides a ne pas trops consommés

  • la viande, la volaille, la charcuterie, les extraits de viande, le poisson
  • les Sufs
  • le fromage (les formages forts sont plus acides que les doux)
  • les corps gras animaux
  • les huiles végétales, surtout l'arachide et les huiles durcies ou raffinées
  • les céréales, complètes ou non, avoine, ... surtout le millet
  • le pain, les pâtes, les flocons et aliments à base de céréales
  • les légumineuses : arachide, soja, haricot blanc, fève, etc.
  • le sucre raffiné et blanc
  • les sucreries : sirop, pâtisseries, chocolat, bonbons, confiture, fruits confis, etc.
  • les fruits oléagioneux : noix, noisette, etc (sauf l'amande)

  • Aliments alcalinisants et alcalins

  • es pommes-de-terre
  • les légumes verts, crus ou cuits : salade, laitue, haricot vert, chou,...
  • les légumes colorés : carottes, bettrave, etc (sauf tomate)
  • le lait, le lait en poudre, le séré bien égoutté, la crème
  • la banane
  • l'amande, la noix de Brésil
  • la chataîgne
  • les fruits secs (sauf abricot )
  • l'eau minérale alcaline
  • boissons à la purée d'amande


samedi 27 février 2016

 un peu de statistique




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Zoum sur les données et statistiques de l'OMS

L’Observatoire mondial de la Santé est le portail de l’OMS sur les statistiques sanitaires du monde entier. Son objectif est de:
  • faciliter l'accès aux données et aux statistiques des pays en mettant l’accent sur les estimations comparables;
  • et d'offrir des analyses de l’OMS pour suivre la situation et les tendances au niveau mondial, régional et national.

Les pages thématiques de l’Observatoire uniquement disponibles en anglais couvrent les priorités sanitaires mondiales, comme les objectifs du Millénaire pour le développement liés à la santé, la mortalité et la charge de morbidité, les systèmes de santé, l’hygiène du milieu, les maladies non transmissibles, les maladies infectieuses, l’équité en matière de santé, la violence et les traumatismes.
Elles présentent:
  • des faits marquants révélant la situation et les tendances mondiales, à l’aide d’indicateurs clés régulièrement actualisés;
  • des données adaptées à chaque thème, comprenant les profils de pays et une cartographie;
  • des publications relatives au thème;
  • des liens vers les pages web intéressantes, sur le site de l’OMS et ailleurs.


La base de données de l’Observatoire donne l’accès à de nombreux indicateurs sanitaires. Les utilisateurs peuvent obtenir les données par indicateurs, thèmes de santé, pays et régions qu’ils sélectionnent et télécharger des tableaux personnalisés au format Excel.
Les données concernant les pays comportent toutes les statistiques et les profils sanitaires des pays membres de l’OMS.L’Observatoire publie aussi des rapports analytiques sur les questions prioritaires de santé, dont les Statistiques sanitaires mondiales publiées chaque année et compilant les statistiques pour les principaux indicateurs sanitaires. Les rapports analytiques traiteront de sujets généraux, comme les femmes et la santé.
Statistiques sanitaires mondiales 2014
  • Statistiques sanitaires mondiales 2014
    Publiées chaque année par l'OMS, les Statistiques sanitaires mondiales constituent une solide source d'informations sur la santé publique mondiale, collectées auprès des 194 États Membres de l’Organisation.


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Obésité et surpoids



Principaux faits
  • À l’échelle mondiale, le nombre de cas d’obésité a doublé depuis 1980.
  • En 2014, plus de 1,9 milliard d’adultes – personnes de 18 ans et plus – étaient en surpoids. Sur ce total, plus de 600 millions étaient obèses.
  • 39% des adultes âgés de 20 ans et plus étaient en surpoids et 13% étaient obèses.
  • Une grande partie de la population mondiale vit dans des pays où le surpoids et l’obésité tuent plus de gens que l’insuffisance pondérale.
  • Le surpoids et l'obésité concernent près de 42 millions d’enfants de moins de 5 ans en 2013.
  • L’obésité est évitable.


Que sont le surpoids et l’obésité?
Le surpoids et l’obésité se définissent comme une accumulation anormale ou excessive de graisse corporelle qui peut nuire à la santé.
L’indice de masse corporelle (IMC) est une mesure simple du poids par rapport à la taille couramment utilisée pour estimer le surpoids et l’obésité chez l’adulte. Il correspond au poids divisé par le carré de la taille, exprimé en kg/m2.
L’OMS définit:
  • le surpoids comme un IMC égal ou supérieur à 25;
  • l’obésité comme un IMC égal ou supérieur à 30.
L’IMC est la mesure la plus utile du surpoids et de l’obésité dans une population car, chez l’adulte, l’échelle est la même quels que soient le sexe ou l’âge du sujet. Il donne toutefois une indication approximative car il ne correspond pas forcément au même degré d’adiposité d’un individu à l’autre.
Informations sur le surpoids et l’obésité
D’après les estimations mondiales récentes de l’OMS:
  • En 2014, plus de 1,9 milliard d’adultes – personnes de 18 ans et plus – étaient en surpoids. Sur ce total, plus de 600 millions étaient obèses.
  • Globalement, environ 13% de la population adulte mondiale (11% des hommes et 15% des femmes) étaient obèses en 2014.
  • En 2014, 39% des adultes – personnes de 18 ans et plus – (38% des hommes et 40% des femmes) étaient en surpoids.
  • La prévalence de l’obésité a plus que doublé au niveau mondial entre 1980 et 2014.
Environ 42 millions d’enfants de moins de 5 ans présentaient un surpoids ou obèses en 2013. Autrefois considérés comme des problèmes propres aux pays à haut revenu, le surpoids et l’obésité augmentent de façon spectaculaire dans les pays à faible ou moyen revenu, surtout en milieu urbain.
Dans les pays en développement et les économies émergentes (classées par la Banque mondiale comme à revenu faible ou intermédiaire), le taux d'augmentation du surpoids et de l’obésité chez les enfants d’âge préscolaire était supérieur de plus de 30% à celui des pays développés.
À l’échelle mondiale, le surpoids et l’obésité sont liés à davantage de décès que l’insuffisance pondérale. Ainsi,une grande partie de la population mondiale vit dans des pays où le surpoids et l’obésité tuent plus de gens que l’insuffisance pondérale (ce chiffre couvre l’ensemble des pays à revenu élevé et la plupart des pays à revenu intermédiaire).
Quelles sont les causes de l’obésité et du surpoids?
La cause fondamentale de l’obésité et du surpoids est un déséquilibre énergétique entre les calories consommées et dépensées. Au niveau mondial, on a assisté à:
  • une plus grande consommation d’aliments très caloriques riches en graisses; et
  • une augmentation du manque d'activité physique en raison de la nature de plus en plus sédentaire de nombreuses formes de travail, de l’évolution des modes de transport et de l’urbanisation.
L’évolution des habitudes en matière d’alimentation et d’exercice physique sont souvent le résultat de changements environnementaux et sociétaux liés au développement et d’un manque de politiques de soutien dans des secteurs tels que la santé, l’agriculture, les transports, l’urbanisme, l’environnement, l’industrie agroalimentaire, la distribution, le marketing et l’éducation.
Quelles sont les conséquences les plus fréquentes du surpoids et de l’obésité?
Un IMC élevé est un important facteur de risque de maladies chroniques comme:
  • les maladies cardiovasculaires (principalement les cardiopathies et les accidents vasculaires cérébraux), qui étaient déjà la première cause de décès en 2012;
  • le diabète;
  • les troubles musculo-squelettiques, en particulier l’arthrose – une maladie dégénérative des articulations, très invalidante;
  • certains cancers (de l’endomètre, du sein et du côlon).
Le risque de contracter des maladies non transmissibles augmente selon la progression de l'IMC.
L’obésité de l’enfant est associée à un risque accru de décès prématuré et d’incapacité à l’âge adulte. Mais en dehors de ces risques futurs, l’obésité entraîne chez l’enfant des difficultés respiratoires, un risque accru de fracture, une hypertension artérielle, l’apparition des premiers marqueurs de maladie cardiovasculaire, une résistance à l’insuline et des problèmes psychologiques.
Une double charge de morbidité
Nombre de pays à faible ou moyen revenu sont aujourd’hui confrontés à une «double charge» de morbidité.
  • Alors que les maladies infectieuses et la dénutrition continuent de sévir, les facteurs de risque de maladies non transmissibles comme l’obésité et le surpoids augmentent rapidement, surtout en milieu urbain.
  • Il n’est pas rare de constater à la fois dénutrition et obésité dans un même pays, dans une même communauté voire dans un même ménage.
Dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, les enfants risquent davantage de ne pas recevoir une alimentation adaptée à leur âge, que ce soit à la naissance ou pendant leur enfance. Parallèlement, ils sont exposés à des aliments riches en graisses, en sucre et en sel, très caloriques mais pauvres en micronutriments, qui sont habituellement moins chers et de qualité nutritionnelle insuffisante. Ce régime alimentaire, associé à la sédentarité, entraîne une augmentation marquée de l’obésité chez l’enfant alors que les problèmes de malnutrition ne sont toujours pas résolus.
Comment réduire la charge du surpoids et de l’obésité?
Le surpoids et l’obésité, ainsi que les maladies non transmissibles dont ils sont la cause, peuvent en grande partie être évités. Pour que les gens puissent choisir des aliments plus sains et faire régulièrement de l’exercice physique, et ainsi éviter de devenir obèses, ils doivent absolument vivre dans un environnement propice à ces choix en termes d’accessibilité, de disponibilité et de coût, et bénéficier du soutien de leur communauté.
Chacun peut veiller à:
  • limiter l’apport énergétique provenant de la consommation de graisses totales et de sucres;
  • consommer davantage de fruits et légumes, de légumineuses, de céréales complètes et de noix;
  • avoir une activité physique régulière (60 minutes par jour pour un enfant et 150 minutes par semaine pour un adulte).
Les gens ne peuvent prendre efficacement ce type de précautions que s’ils ont les moyens d’avoir un mode de vie sain. Au niveau de la société, il est donc important:
  • d’aider les individus à suivre les recommandations ci-dessus moyennant un engagement politique durable et la collaboration de nombreux acteurs publics et privés;
  • de donner à tous, notamment aux plus pauvres, un accès facile et abordable aux moyens de pratiquer une activité physique régulière et d’avoir un régime alimentaire sain.
L’industrie agro-alimentaire peut jouer un rôle important de promotion des régimes alimentaires sains:
  • en réduisant la teneur en graisse, en sucre et en sel des aliments préparés;
  • en proposant à tous les consommateurs des produits sains et nutritifs à un prix abordable;
  • en pratiquant un marketing responsable, en particulier quand elle s’adresse aux enfants et aux adolescents;
  • en proposant des aliments sains et en favorisant la pratique d’exercice physique sur le lieu de travail.
Action de l’OMS
Adoptée par l’Assemblée mondiale de la Santé en 2004, la Stratégie mondiale de l’OMS pour l’alimentation, l’exercice physique et la santé définit les mesures nécessaires pour encourager les gens à avoir une alimentation saine et à faire régulièrement de l’exercice. La stratégie incite toutes les parties intéressées à agir aux niveaux mondial, régional et local pour améliorer les régimes alimentaires et favoriser la pratique d’exercice physique dans la population.
Dans la Déclaration politique de la Réunion de haut niveau de l’Assemblée générale des Nations Unies sur la prévention et la maîtrise des maladies non transmissibles, adoptée en septembre 2011, il est reconnu qu’il importe au plus haut point de réduire le degré d’exposition de l’individu et des populations à une alimentation malsaine et au manque d’exercice physique.
L’engagement y est pris de promouvoir la mise en œuvre de la Stratégie mondiale pour l’alimentation, l’exercice physique et la santé élaborée par l’OMS, y compris, le cas échéant, en adoptant de politiques et mesures visant à encourager dans l’ensemble de la population des habitudes alimentaires saines et la pratique accrue d’activités physiques.
L’OMS a élaboré le Plan d’action mondial pour la lutte contre les maladies non transmissibles 2013-2020, qui a pour but de concrétiser les engagements pris dans la Déclaration politique des Nations Unies sur les maladies non transmissibles, approuvée par les Chefs d’État et de gouvernement en septembre 2011.
Ce plan d’action a pour but de capitaliser sur la Convention-cadre de l’OMS pour la lutte antitabac et sur la Stratégie mondiale de l’OMS pour l’alimentation, l’exercice physique et la santé. Il contribuera à la réalisation progressive des 9 cibles concernant les maladies non transmissibles à atteindre d’ici 2025, notamment une baisse relative de 25% de la mortalité prématurée due aux MNT et l’arrêt de la progression des taux mondiaux d’obésité à leur niveau de 2010.
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Obésité et surpoids
Aide-mémoire N°311
Janvier 2015


Principaux faits
  • À l’échelle mondiale, le nombre de cas d’obésité a doublé depuis 1980.
  • En 2014, plus de 1,9 milliard d’adultes – personnes de 18 ans et plus – étaient en surpoids. Sur ce total, plus de 600 millions étaient obèses.
  • 39% des adultes âgés de 20 ans et plus étaient en surpoids et 13% étaient obèses.
  • Une grande partie de la population mondiale vit dans des pays où le surpoids et l’obésité tuent plus de gens que l’insuffisance pondérale.
  • Le surpoids et l'obésité concernent près de 42 millions d’enfants de moins de 5 ans en 2013.
  • L’obésité est évitable.


Que sont le surpoids et l’obésité?
Le surpoids et l’obésité se définissent comme une accumulation anormale ou excessive de graisse corporelle qui peut nuire à la santé.
L’indice de masse corporelle (IMC) est une mesure simple du poids par rapport à la taille couramment utilisée pour estimer le surpoids et l’obésité chez l’adulte. Il correspond au poids divisé par le carré de la taille, exprimé en kg/m2.
L’OMS définit:
  • le surpoids comme un IMC égal ou supérieur à 25;
  • l’obésité comme un IMC égal ou supérieur à 30.
L’IMC est la mesure la plus utile du surpoids et de l’obésité dans une population car, chez l’adulte, l’échelle est la même quels que soient le sexe ou l’âge du sujet. Il donne toutefois une indication approximative car il ne correspond pas forcément au même degré d’adiposité d’un individu à l’autre.
Informations sur le surpoids et l’obésité
D’après les estimations mondiales récentes de l’OMS:
  • En 2014, plus de 1,9 milliard d’adultes – personnes de 18 ans et plus – étaient en surpoids. Sur ce total, plus de 600 millions étaient obèses.
  • Globalement, environ 13% de la population adulte mondiale (11% des hommes et 15% des femmes) étaient obèses en 2014.
  • En 2014, 39% des adultes – personnes de 18 ans et plus – (38% des hommes et 40% des femmes) étaient en surpoids.
  • La prévalence de l’obésité a plus que doublé au niveau mondial entre 1980 et 2014.
Environ 42 millions d’enfants de moins de 5 ans présentaient un surpoids ou obèses en 2013. Autrefois considérés comme des problèmes propres aux pays à haut revenu, le surpoids et l’obésité augmentent de façon spectaculaire dans les pays à faible ou moyen revenu, surtout en milieu urbain.
Dans les pays en développement et les économies émergentes (classées par la Banque mondiale comme à revenu faible ou intermédiaire), le taux d'augmentation du surpoids et de l’obésité chez les enfants d’âge préscolaire était supérieur de plus de 30% à celui des pays développés.
À l’échelle mondiale, le surpoids et l’obésité sont liés à davantage de décès que l’insuffisance pondérale. Ainsi,une grande partie de la population mondiale vit dans des pays où le surpoids et l’obésité tuent plus de gens que l’insuffisance pondérale (ce chiffre couvre l’ensemble des pays à revenu élevé et la plupart des pays à revenu intermédiaire).
Quelles sont les causes de l’obésité et du surpoids?
La cause fondamentale de l’obésité et du surpoids est un déséquilibre énergétique entre les calories consommées et dépensées. Au niveau mondial, on a assisté à:
  • une plus grande consommation d’aliments très caloriques riches en graisses; et
  • une augmentation du manque d'activité physique en raison de la nature de plus en plus sédentaire de nombreuses formes de travail, de l’évolution des modes de transport et de l’urbanisation.
L’évolution des habitudes en matière d’alimentation et d’exercice physique sont souvent le résultat de changements environnementaux et sociétaux liés au développement et d’un manque de politiques de soutien dans des secteurs tels que la santé, l’agriculture, les transports, l’urbanisme, l’environnement, l’industrie agroalimentaire, la distribution, le marketing et l’éducation.
Quelles sont les conséquences les plus fréquentes du surpoids et de l’obésité?
Un IMC élevé est un important facteur de risque de maladies chroniques comme:
  • les maladies cardiovasculaires (principalement les cardiopathies et les accidents vasculaires cérébraux), qui étaient déjà la première cause de décès en 2012;
  • le diabète;
  • les troubles musculo-squelettiques, en particulier l’arthrose – une maladie dégénérative des articulations, très invalidante;
  • certains cancers (de l’endomètre, du sein et du côlon).
Le risque de contracter des maladies non transmissibles augmente selon la progression de l'IMC.
L’obésité de l’enfant est associée à un risque accru de décès prématuré et d’incapacité à l’âge adulte. Mais en dehors de ces risques futurs, l’obésité entraîne chez l’enfant des difficultés respiratoires, un risque accru de fracture, une hypertension artérielle, l’apparition des premiers marqueurs de maladie cardiovasculaire, une résistance à l’insuline et des problèmes psychologiques.
Une double charge de morbidité
Nombre de pays à faible ou moyen revenu sont aujourd’hui confrontés à une «double charge» de morbidité.
  • Alors que les maladies infectieuses et la dénutrition continuent de sévir, les facteurs de risque de maladies non transmissibles comme l’obésité et le surpoids augmentent rapidement, surtout en milieu urbain.
  • Il n’est pas rare de constater à la fois dénutrition et obésité dans un même pays, dans une même communauté voire dans un même ménage.
Dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, les enfants risquent davantage de ne pas recevoir une alimentation adaptée à leur âge, que ce soit à la naissance ou pendant leur enfance. Parallèlement, ils sont exposés à des aliments riches en graisses, en sucre et en sel, très caloriques mais pauvres en micronutriments, qui sont habituellement moins chers et de qualité nutritionnelle insuffisante. Ce régime alimentaire, associé à la sédentarité, entraîne une augmentation marquée de l’obésité chez l’enfant alors que les problèmes de malnutrition ne sont toujours pas résolus.
Comment réduire la charge du surpoids et de l’obésité?
Le surpoids et l’obésité, ainsi que les maladies non transmissibles dont ils sont la cause, peuvent en grande partie être évités. Pour que les gens puissent choisir des aliments plus sains et faire régulièrement de l’exercice physique, et ainsi éviter de devenir obèses, ils doivent absolument vivre dans un environnement propice à ces choix en termes d’accessibilité, de disponibilité et de coût, et bénéficier du soutien de leur communauté.
Chacun peut veiller à:
  • limiter l’apport énergétique provenant de la consommation de graisses totales et de sucres;
  • consommer davantage de fruits et légumes, de légumineuses, de céréales complètes et de noix;
  • avoir une activité physique régulière (60 minutes par jour pour un enfant et 150 minutes par semaine pour un adulte).
Les gens ne peuvent prendre efficacement ce type de précautions que s’ils ont les moyens d’avoir un mode de vie sain. Au niveau de la société, il est donc important:
  • d’aider les individus à suivre les recommandations ci-dessus moyennant un engagement politique durable et la collaboration de nombreux acteurs publics et privés;
  • de donner à tous, notamment aux plus pauvres, un accès facile et abordable aux moyens de pratiquer une activité physique régulière et d’avoir un régime alimentaire sain.
L’industrie agro-alimentaire peut jouer un rôle important de promotion des régimes alimentaires sains:
  • en réduisant la teneur en graisse, en sucre et en sel des aliments préparés;
  • en proposant à tous les consommateurs des produits sains et nutritifs à un prix abordable;
  • en pratiquant un marketing responsable, en particulier quand elle s’adresse aux enfants et aux adolescents;
  • en proposant des aliments sains et en favorisant la pratique d’exercice physique sur le lieu de travail.
Action de l’OMS
Adoptée par l’Assemblée mondiale de la Santé en 2004, la Stratégie mondiale de l’OMS pour l’alimentation, l’exercice physique et la santé définit les mesures nécessaires pour encourager les gens à avoir une alimentation saine et à faire régulièrement de l’exercice. La stratégie incite toutes les parties intéressées à agir aux niveaux mondial, régional et local pour améliorer les régimes alimentaires et favoriser la pratique d’exercice physique dans la population.
Dans la Déclaration politique de la Réunion de haut niveau de l’Assemblée générale des Nations Unies sur la prévention et la maîtrise des maladies non transmissibles, adoptée en septembre 2011, il est reconnu qu’il importe au plus haut point de réduire le degré d’exposition de l’individu et des populations à une alimentation malsaine et au manque d’exercice physique.
L’engagement y est pris de promouvoir la mise en œuvre de la Stratégie mondiale pour l’alimentation, l’exercice physique et la santé élaborée par l’OMS, y compris, le cas échéant, en adoptant de politiques et mesures visant à encourager dans l’ensemble de la population des habitudes alimentaires saines et la pratique accrue d’activités physiques.
L’OMS a élaboré le Plan d’action mondial pour la lutte contre les maladies non transmissibles 2013-2020, qui a pour but de concrétiser les engagements pris dans la Déclaration politique des Nations Unies sur les maladies non transmissibles, approuvée par les Chefs d’État et de gouvernement en septembre 2011.
Ce plan d’action a pour but de capitaliser sur la Convention-cadre de l’OMS pour la lutte antitabac et sur la Stratégie mondiale de l’OMS pour l’alimentation, l’exercice physique et la santé. Il contribuera à la réalisation progressive des 9 cibles concernant les maladies non transmissibles à atteindre d’ici 2025, notamment une baisse relative de 25% de la mortalité prématurée due aux MNT et l’arrêt de la progression des taux mondiaux d’obésité à leur niveau de 2010.

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